« Dynamique et fluide, acrobatique et harmonieuse, foudroyante et soyeuse », la danse d’Hervé Koubi est inimitable, toujours renouvelée et pourtant immédiatement identifiable. Impossible d’oublier Ce que le jour doit à la nuit, Les Nuits barbares…, comme il sera difficile de ne pas se souvenir de Sol Invictus qui rend hommage aux cultures multiples et entraine dix-sept interprètes dans un vaste élan vital.
De Mikael Karlsson à Steve Reich et de Maxime Bodson à Beethoven, un flux musical audacieux traverse de part en part ce manifeste pour la vie imaginé par Hervé Koubi comme lumineux, généreux et universel. Sa nouvelle déclaration d’amour à la danse et aux hommes prend la forme d’un hymne puissant, à l’écriture foisonnante d’esthétiques, de styles, de langues. Où l’on retrouve quelques saisissantes figures acrobatiques dont il a le secret, des courses échevelées, de tendres enlacements, des élévations plus classiques mais aussi des rondes et des spirales sans oublier la physicalité hip-hop chère à l’auteur. Le monde est pluriel ne cesse-t-il de nous dire depuis ses débuts, et les corps aussi, fougueux, solides, toujours aux aguets. Habités plus encore par une force intérieure qui irradie le plateau et transforme le sol en terre brulante. Sol Invictus ressemble à un terrain de jeu qui trouverait ses racines au plus loin dans l’histoire de l’humanité, entre rituel et célébration.
OPENING NIGHT, À L'ISSUE DU SPECTACLE
Une soirée d’ouverture forcément solaire pour resplendir tout au bout de la nuit. Et si la nuit vous tendait les bras ? Et si la fête vous appartenait ?
Pour électriser la soirée, l’indomptable violon de Gérard Tempia...
Avec Gérard Tempia, violon, violon électrique et DJ set.
Durant toute la soirée, cocktails et collation à prix tout doux proposés, au cœur de la fête, par notre partenaire Le Café Léon.
